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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 00:00

Provenant de l'Etat, des conseils généraux et régionaux, des communes, de la Caisse d'Allocations Familiales... les dispositifs d'aide individualisée aux élèves et aux familles pour la scolarité sont multiples, complexes et pas toujours cohérents.

Le Conseil général vient donc de modifier le dispositif des bourses départementales, il a mis en place un système de bourse unique et simplifié, recentré sur les collégiens, ce qui est cohérent avec ses compétences.


Les collégiens boursiers reçoivent de l'Etat une bourse modulée en trois taux selon des conditions de ressources.
Désormais les taux 2 et 3 recevront automatiquement une aide supplémentaire du Conseil général de 100 et 150 euros.

Le nouveau dispositif concerne environ 6 000 collégiens alors que l'année scolaire 2009-2010 ne comptait que 3 700 bourses aux collégiens. Pourtant les indicateurs sociaux montraient ces dernières années une augmentation sensible  des ménages à faible revenu. La réforme du dispositif des bourses était donc une nécessité pour mieux diriger l'action du Conseil général vers les Valdoisiens les plus en difficulté.

Par ailleurs la réflexion est engagée pour faire évoluer le soutien aux apprentis et aux étudiants. La forme actuelle de bourse aux apprentis est toutefois maintenue.


Source : valdoise.fr 

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 00:00

Logo-Cg-internet.pngLa nouvelle majorité du conseil général a adopté un Plan routes exceptionnel, lors de la séance du 29 avril.

L'urgence est de réparer les voies dégradées par deux hivers rigoureux.

Ce plan élargit le soutien départemental aux voiries communales, en particulier pour les petites communes pour lesquelles la voirie représente une lourde charge.

Le montant total du plan est de 5,63 millions d'euros, dont 5 millions financés par le département et 635 000 par l'Etat.

Une moitié ira à la voirie départementale et l'autre à la voirie communale.

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31 mars 2011 4 31 /03 /mars /2011 23:00


CG95 : Arnaud Bazin président par vonews


Ce matin, c'est sans surprise qu’Arnaud Bazin, du groupe Union pour le Val d'Oise a été élu Président du Conseil général avec 21 voix contre 18, au candidat du groupe socialiste.

L’élection a été accueillie par de longs applaudissements du public présent dans la salle.

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 00:00

Le Président-fondateur du Samu 95, Marc Giroud, revient, dans une interview au Parisien ce matin, sur la suppression en septembre dernier par le Conseil général d’une subvention de 600 000 €.

« 600 000 €, cela représente le coût de la moitié de notre effectif d’agents de régulation (30 personnes au total, soit 4 à 6 en permanence qui sont au bout du téléphone en première ligne lorsque l’on compose le 15 et qui font le relais avec les médecins) »,
précise-t-il. 

« Et médicalement, c’est catastrophique »,
assure-t-il. « Aujourd’hui, nous sommes limite mais on s’en sort. Si on allonge les délais d’attente, en mettant sous pression les agents régulateurs, on finira immanquablement par avoir un malheur».

La subvention du Conseil général avait été obtenue afin de limiter les délais d'attente des patients. Revenir à la situation antérieure, avec une subvention réduite, est qualifié de "non-sens" par le Docteur Giroud, qui dénonce aussi la brutalité de la suppression : « Il y a eu un premier versement au printemps de 320 000 €. Mais le second n’est jamais arrivé » précise t il.
« C’est extravagant. On a appris en septembre qu’à partir du mois de juin précédent, il fallait licencier la moitié des effectifs ! ».

Je continue de penser que les économies faites par le Conseil général ne le sont pas aux bons endroits : après le SAMU, c’est au tour de la Croix Rouge puis aux bourses pour la formation professionnelle et l'emploi des jeunes !

Nous sommes bien loin des belles promesses de campagne d’il y a 3 ans.
N’est ce pas Madame Bernier ?

Lire ici l'article du Parisien.

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 00:00

La-France-de-la-volontee-ecologique.jpg
L’hebdomadaire La Vie publie depuis 2007 un palmarès de la volonté écologique des départements.
Reconnu par les experts et les associations écologiques, ce classement évalue les efforts environnementaux des départements métropolitains et les résultats de leurs politiques.


Et en 2010… le 95 se place 95e sur 95… Quelle réussite !!!

Rappelons, pour mémoire, la grande promesse de campagne en 2008 de l’actuelle majorité : faire du Val d’Oise un éco-département...

Trois ans plus tard, il ne reste que deux projets « verts » portés par le Conseil général : le Chèque énergie verte, censé favoriser l’accès des ménages aux énergies renouvelables, et la création du Conseil Départemental du Développement Durable, ou C3D dans le jargon bobo de cette majorité.


Le dispositif Chèque énergie verte, pour ne parler que de lui, connaît un succès époustouflant, avec un nombre de bénéficiaires s’élevant à… 8, pour un montant total de subventions attribuées de 10 300 €. Pour un système lancé en grande pompe voici 7 mois, le succès est flagrant, là aussi !!!

Certes, comme le précise La Vie, le Val d’Oise, de même que les autres collectivités fortement urbanisées de la région parisienne et les anciens bassins industriels du Nord, est pénalisé par son réseau routier plus dense que la moyenne, ou par l’implantation de Roissy.

Mais tous les autres départements, et notamment franciliens, tel le Val de Marne, qui supporte l’aéroport d’Orly, et même Paris, autrement plus concerné que nous par les embouteillages et l’urbanisation, s’en sortent mieux que le Val d’Oise.


Ce classement fait toute la lumière sur la cruelle inefficacité de la politique de Didier Arnal et de sa majorité, dont fait partie Madame Bernier, en faveur de l’écologie, et, contrairement à ce qu’ils affirment à grand renfort de campagnes publicitaires dispendieuses.

Car la position de lanterne rouge du Département est bien due à un manque d’imagination et de résultat. En effet, dans le classement établi en 2009, le département le moins bien noté était alors la Seine-Maritime. Mais grâce à la motivation de ses élus, il a pu porter plusieurs projets environnementaux novateurs, et se positionne désormais 86e place. Le Pas de Calais est quant à lui passé de la 93e à la 74e position.

Ce billet serait incomplet si on ne citait pas un autre classement, où cette fois-ci notre Département se signale par sa présence dans le top ten. Le Val d’Oise est en effet 6e dans le palmarès des départements les plus endettés de France.

D’après une étude réalisée en octobre 2010 par le Journal du Net Economie, notre Département arrive en 6e position avec 812 millions d’euros de dette, ce qui représente presque 70% de son budget 2010.

Nous ne pouvons que féliciter Monsieur Arnal et son équipe pour ce nouveau succès éclatant de sa politique. Même s’il est peu probable que ces brillants résultats feront l’objet d’une nouvelle campagne publicitaire…

Lire ici le dossier de la Vie.

Lire ici le dossier du Journal du Net.

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 00:00

La majorité, dont fait partie notre « chère » Conseillère générale Anita Bernier, a voté vendredi dernier en séance plénière une coupe de 40% dans le budget du SAMU du Val d’Oise, et programmé un désengagement financier total dès l’année prochaine.

Rappelons que cette décision a été adoptée unanimement par l’ensemble des Conseillers généraux de gauche : PS, PC et PRG.

Alors que le Conseil général, sous l’impulsion de l’ancienne majorité finançait le SAMU depuis 1981, voici que la gauche départementale a décidé de se délester délibérément d’une compétence indispensable à la sécurité sanitaire des Valdoisiens.

On ne peut que condamner fermement ce nouveau recul qui caractérise la politique de cette majorité socialiste et communiste, uniquement tournée vers les artifices de communication, et dont nous ne pouvons que constater les effets tous les jours plus délétères pour notre Département.

De plus, il est à déplorer l’irresponsabilité de cette décision unilatérale.
En effet, le budget du SAMU 95 intégrait pour son équilibre cette subvention accordée par le Conseil général au moment du vote du budget primitif 2010. La coupe opérée vendredi, sans concertation aucune avec le SAMU est plus que brutale : c’est donc fin septembre que le SAMU apprend qu’il ne bénéficiera pas de cette subvention pour son budget 2010, alors que les ¾ de l’année sont déjà écoulés !

Ce choix politique est encore une fois un triste exemple du choix d’économie que fait cette majorité au Conseil général.
Les citoyens que nous sommes auraient sûrement préféré quelques coupes sombres dans les dépenses dispendieuses de communication du Département et pouvoir être certains que dans quelques mois le « 15 » ne sera pas aux abonnés absents.

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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 00:00
Dans le Département du Val d’Oise, comme dans toutes les collectivités, la fin de l'année est consacrée à l'élaboration du budget. C'est un moment important car les grandes orientations sont arrêtées par les élus et des sommes importantes sont alors affectées à des projets structurants pour nos territoires.

Avec un budget de 1,2 milliards d'euros, le Val d'Oise fait partie des Départements où les possibilités d'actions sont assez étendues, mais bien sûr, s'il est correctement géré. Et c'est sur ce dernier point que le bât blesse cette année !

D'abord, il a été demandé aux services du Conseil général de réduire le financement de projets déjà programmés : pas mois de 100 millions d'euros d'économies à trouver avant la fin de l'année !

Ensuite, le nouveau Président du Conseil général n'a cessé d’ânonner son couplet sur le "désengagement de l'Etat dans les collectivités", sans jamais aller plus loin dans son propos; ce qui finit par être suspect !

Car il faut quand même savoir que la responsabilité des dépenses du Conseil général ne relève ni du Président de la République, ni du gouvernement, mais bien d'une seule personne : le Président du Conseil général. Or, depuis 6 mois, le rythme des dépenses de fonctionnement s'est emballé : cabinet pléthorique, subventions hors dispositif distribuées aux "amis", j’en passe et des meilleurs…

Et si nous n’avions pas encore compris, le Président du Conseil général sort alors sa dernière flèche, pour expliquer que cette débandade est de la faute de l’ancienne majorité. Ah bon !

L'état dans lequel les socialistes et communistes ont trouvé les finances du Conseil général était pourtant irréprochable. Le Val d’Oise a longtemps été parmi les départements les mieux administrés : rappelez-vous, la fiscalité y était stable, et, dans le même temps, des investissements importants et nombreux étaient réalisés. Mais je crois bien que tout ceci soit malheureusement de l’histoire ancienne.

Car bizarrement, je ne peux ôter de mon esprit les discours de ces nouveaux présidents de régions en 2004 qui nous expliquaient, sans sourire, que les anciennes majorités de "droite" avaient pendant des années mal géré leurs régions.

Constat 4 ans plus tard : +35% d’augmentation des impôts régionaux, multiplication des dépenses de fonctionnement, de communication, de représentation, saupoudrage des subventions aux associations...

Triste destin pour notre Département !

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19 septembre 2008 5 19 /09 /septembre /2008 00:00
Avant-hier matin, Le Parisien Val d’Oise, relayé par VoNews (www.vonews.fr), nous apprenait que la bataille faisait rage entre Didier Arnal, Président du Conseil général PS, et son collègue François Pupponi, Conseiller général PS, qui voulaient tous deux, un circuit de Formule 1 dans leur fief. Et oui, rien que ça !
 
Pour que tous le monde comprenne bien, il faut rappeler que ces éminents personnages sont élus ; chacun Conseiller général de Sarcelles.
 
- L’un, du canton sud-ouest, l’autre du canton nord-est.
 
- L’un, est Président du Conseil général, l’autre, Député.
 
- L’un, veut ce fameux circuit sur les villes d’à côté de chez lui, l’autres sur ses terres (normal, c’est le Maire).
 
Seul point commun, ils font tous deux partie de la même majorité PS/PC du Conseil général.
 
Ce qui m’inquiète quand même un peu pour l’avenir de notre Département, c’est que la réponse à la réussite scolaire, à la solidarité, à l’écologie, au vivre ensemble et à la démocratie participative (c’est ce que j’ai lu sur les documents de campagne de notre Conseillère générale...), c’est ce projet miracle : un circuit de Formule 1 !
 
Dans ce cas, nous aussi, nous en voudrions bien un, de circuit de Formule 1.
 
Madame la Conseillère générale de Cormeilles-Montigny, un petit effort, demandez cela à vos collègues du Conseil général : un circuit de Formule 1 sur les Buttes du Parisis entre Cormeilles et Montigny, ça aurait de la "gueule", non… ?

Et puis la Formule 1, tous le monde le sait : c’est un sport très populaire, très écolo … Très « Gauche », quoi !!!

Au fait, c'est celà que vous appelez le « vivre ensemble » ?














  Téléchargez l'article de VoNews : "Un deuxième projet de Formule 1 pour le Val d'Oise".



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17 décembre 2007 1 17 /12 /décembre /2007 00:00

Logo-E2C.jpgAfin d'améliorer les perspectives d'intégration des jeunes Valdoisiens le Conseil général lance les bases de l'Ecole de la 2ème chance.

Lundi 17 décembre dernier, François SCELLIER, Député, Président du Conseil général du Val d’Oise et Christophe DURAND, Conseiller général, Président de la Commission sport et jeunesse ont animé une réunion d’information et de lancement du projet d’une Ecole de la 2ème chance dans le Val d’Oise visant à présenter le dispositif des Ecoles de la deuxième chance aux mondes de l’entreprise, de l’insertion et de la prévention afin de les associer et de les amener à devenir acteurs de cette action.

Département le plus jeune de France, le Val d’Oise connaît un grand nombre de jeunes de moins de 25 ans inscrits à l’ANPE ou qui sortent du système scolaire sans diplôme.
Depuis 2005, le Conseil général du Val d’Oise dans son projet Horizon 2015 s’est fortement engagé dans tous les domaines de la vie quotidienne des Valdoisiens notamment à favoriser l’emploi et à organiser toutes les solidarités.

C’est la raison pour laquelle il a souhaité lancer le projet d’une école de la 2ème chance sur son territoire et plus particulièrement sur les territoires des Rives de Seine et de la Plaine de France.

L’école de la 2ème chance, c’est quoi ?

L’école de la 2ème chance vise à lutter contre le chômage des jeunes qui ont quitté l’école sans qualification en les réinsérant et en leur offrant une chance supplémentaire d’accéder à l’emploi.

Créer une école de la 2ème chance, c’est chercher à améliorer les perspectives d’intégration des jeunes qui sont menacés d’exclusion du marché du travail en améliorant leur motivation, leur capacité d’apprendre, leurs connaissances de base et leurs aptitudes sociales.

L’école de la 2ème chance, c’est pour qui ?

Pour y accéder, les jeunes doivent avoir entre 18 et 25 ans et être sortis depuis au moins 2 ans du système scolaire sans diplôme ni qualification.

L’école de la 2ème chance, ça s’organise comment ?

L’école de la 2ème chance offre un parcours en alternance personnalisé menant à l’emploi ou à une formation professionnelle qualifiante sur un métier choisi. Les jeunes partagent alors leur temps (35 heures par semaine) entre l’école et l’entreprise. L’école de la 2ème chance les accompagnent entre 3 mois et 2 ans. Les savoirs acquis seront répertoriés dans une attestation de formation et les jeunes percevront une rémunération dans le cadre du dispositif de formation professionnelle géré par la Région.

L’école de la 2ème chance dans le Val d’Oise , c’est pour quand ?

Le site d’Argenteuil-Bezons devrait accueillir une soixantaine de jeunes dès la rentrée 2008. Celui de la Communauté d’agglomération de Val de France devrait suivre très rapidement.

(Source : valdoise.fr)

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18 octobre 2007 4 18 /10 /octobre /2007 19:01

Le Congrès de l’Association des Départements de France (Adf) s’est tenu les 16, 17 et 18 octobre à Marseille en présence de 45 Présidents de Conseils généraux et de représentants de 82 Départements.

Mich--le-Alloit-Marie.jpgInvitée à clôturer pour la première fois le Congrès de l’Adf, Michèle Alliot-Marie a rappelé son attachement aux Conseils généraux : "Je suis bien décidée à les défendre !". Le Ministre de l’Intérieur, chargé des collectivités territoriales, a même parlé d’une place à part dans le paysage institutionnel, "celle de l’affectif...".

Parmi les chantiers du Ministre figure celui de la clarification des missions des collectivités territoriales. Michèle Alliot-Marie a confirmé l’idée d’une loi organique visant à réaffirmer les blocs de compétences de chaque niveau territorial qui, par définition, s’imposerait aux lois ordinaires.

Enfin, pour répondre à l’exigence des collectivités territoriales d’être mieux associées à l’élaboration des normes qui les concernent, le Ministre a évoqué le projet d’une Commission Consultative d’Evaluation des Normes au sein du Comité des Finances Locales qui ferait écho à l’actuelle Commission Consultative d’Evaluation des Charges.

Alors que les élections cantonales des 9 et 16 mars prochains se profilent, je suis heureux de constater qu'il est très loin
le temps où l’on parlait du Département comme l’échelon de trop dans notre univers administratif et politique.

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